Robert Buijtenhuijs écrit dans Le Frolinat et les guerres civiles au Tchad, p. 287:
« C’est à Charles Hernu que Mitterrand laisse le soin d’effectuer le dernier virage dans la politique française sur le problème d’Aozou. Le 27 mars 1985, celui-ci déclare en effet : « La bande d’Aozou est hors du Tchad. Cela, tout le monde est d’accord. Même le président Habré le reconnaît. C’est une affaire qui remonte à 1934. » » Buijtenhuijs tire la citation de Jeune Afrique n° 1266, 10 avril 1985.