Roland Dumas écrit dans Coups et blessures, parlant des « bien-pensants » et des chefs d’Etat africains : « La lâcheté n’a-t-elle pas consisté à leur confier des missions dont on ne voulait pas se charger ? » Il y a là une accusation en miroir. On peut aisément constater que Mitterrand à confier lui-même des missions dont il ne voulait pas se charger à des chefs d’Etats africains.