Vous trouverez ici des archives sonores et des archives écrites. Elles sont classées par ordre chronologique suivant les chapitres de Le prix du sang, cinquième partie de Malim Une histoire française.
Les documents audio sont précédés du numéro de la cassette audio suivi du numéro de la plage. N pour numéro et ‘ pour la face b.
Ces documents n’ont permis, 25 ans après l’attentat, de retracer le parcours de ma famille et le mien, dans notre recherche de justice et de vérité. Ils mettent en perspective l’attentat dans les relations franco-africaines de ces années et font l’objet des 20 premiers chapitres de la 5ème partie de Malim Une histoire française.
Vous pouvez consulter ici plusieurs documents. Cependant, contactez-moi si vous souhaitez consulter certains documents dont le lien n’est pas présent.
Chapitres Noël et Marcel Laugel
Ces deux premiers chapitres de la cinquième partie de Malim Une Histoire française comportent le récit des premiers jours que nous avons vécus, ma famille et moi-même, après l’annonce de l’attentat, le rapatriement des corps, mon premier appel au Quai d’Orsay, les obsèques, notre incompréhension, mes relations avec le MAE lors de ce premier mois après la mort de Jean-Paul. Ils se terminent par ma conversation du 5 février avec Marcel Laugel, ambassadeur de France au Soudan, fervent partisan d’une enquête internationale sur l’attentat, via l’OACI, l’Organisation de l’aviation civile internationale.
Documents :
1) courrier de Jean-Paul à MSF du 23 mai 1989
2) acte de décès de Jean-Paul daté du 28 décembre 1989 signé de Laugel et de Christopher Carr
3) Dépêches AFP du 21 décembre 89 au 7 janvier 90
4) CA de MSF du 22 décembre 1989
5) Lettre de l’Océan Indien du 6 jan ’90
6) lettre de Rony Brauman aux parents du 18 janvier 1990
7) courrier de maître Gérigny aux parents du 31 janvier 1990
8) Mon courrier à M. Belliard du 30 janvier 1990
9) Mon courrier à maître Gérigny du 31 janvier 1990
10) Procès verbal de la réunion du CA de MSF du 2 février 1990
11) Retranscription de mon entretien téléphonique avec Laugel du 5 février 1990
Chapitres Roger Vivarié, Jean-Christophe Belliard et Monsieur Costantini.
Dans le chapitre Roger Vivarié, l’ancien médecin coordinateur de MSF au Soudan me restitue, lors de mon appel téléphonique du 12 février, la rencontre qu’il a eu avec le directeur du cabinet du ministre Roland Dumas. Lors de cette réunion, il était accompagné de Rony Brauman, Patrick Moreau d’ASF et maître Gérigny, notre avocat. Le contraste avec les propos de Marcel Laugel est saisissant.
Le Quai d’Orsay, par l’intermédiaire de Madame Pagnier, me confirme que l’ « OACI a décidé d’intervenir. » Je m’informe de la nouvelle démarche de notre ambassadeur par une conversation téléphonique avec Monsieur Belliard le 2 mars : celui-ci m’explique comment Marcel Laugel s’est « fait jeter par les Soudanais ».
Extraits
« Après cette conversation, il m’apparaît que l’enquête apparemment souhaitée par tous en France comme à l’ambassade, et qui nous a été annoncée dès le début du mois de janvier par MSF, aurait le plus grand mal à se mettre en place. Il nous faudra donc être particulièrement attentifs, tout autant que nous le pourrons.
Le 5 mars, je m’adresse par courrier à l’OACI pour demander confirmation qu’une enquête a été entreprise, depuis quand, dans quelles conditions allait-elle s’effectuer, quels seraient les premiers destinataires des résultats. Je rappelle les questions auxquelles nous souhaitons une réponse précise : de quel endroit le tir est-il parti ? Quelle arme a été utilisée ? Où a eu lieu l’impact sur l’avion ? Que reste-t-il de l’avion ? La neutralité de l’OACI doit assurer la crédibilité de l’enquête.
Rony Brauman écrit également au secrétaire général de l’ONU, Perez de Cuellar, pour attirer son attention sur « la dégradation dramatique de la situation au Soudan ». Les médecins humanitaires sont devenus des cibles, dit-il. Roger Vivarié a dénoncé cette situation lors d’une conférence de presse le 26 février. « Jamais il n’y a eu dans la région un tel niveau d’activité militaire et guerrière ». Par son appel au secrétaire général, MSF espère que les conditions seront bientôt à nouveau réunies pour reprendre ses missions d’aide humanitaire et médicale aux populations du sud du Soudan.
Je m’adresse le 5 mars à maître Gérigny. Je lui fais parvenir la copie de la lettre de Monsieur Brauman à l’ONU. Je lui rappelle qu’après le retour au Soudan de monsieur Laugel, la situation n’a pas évolué et que nous sommes toujours dans l’attente d’une enquête. Je pense qu’« il serait souhaitable qu’une pression plus importante soit exercée sur les personnes qui décident ». Aussi je lui confirme notre décision, tant la mienne que celle de toute ma famille, de poursuivre nos démarches afin de connaître la vérité sur la mort de Jean-Paul.»
Le chapitre Monsieur Costantini restitue ma conversation du 8 mars avec le numéro deux de la représentation française à l’OACI à Montréal. L’organisation onusienne n’a aucun pouvoir de coercition, de police et encore moins de justice m’apprend mon interlocuteur. Il m’apparaît cependant qu’il faut appuyer toutes les démarches de Marcel Laugel à Khartoum. Nous avons pour cela non seulement les procédures prévues par l’annexe 13 de la convention de Chicago, mais aussi l’article 84 et le règlement des différends.
Documents :
12) Dépêche d’Associated Press du 26 février 1990
13) Déclaration de MSF de mars 1990
14) Mon courrier à maître Gérigny du 5 mars 1990
N2-1) Conversation du 9 mars avec M. Costantini, adjoint de M. Henault, représentant de la France à l’OACI à Montréal
Chapitres Rony Brauman, Patrick Moreau et Mademoiselle Pagnier.
Au chapitre Rony Brauman, j’informe le président de MSF des leviers existants pour que l’Etat français fasse pression sur le Soudan. Il me faut cependant la convention de Chicago. Je me la procure aux bureaux de l’OACI de Neuilly-sur-Seine. J’y apprends un nouveau moyen de faire pression sur le Soudan : l’article 38. Le MAE, par l’intermédiaire de Mademoiselle Pagnier m’informe qu’il s’en tiendra à l’annexe 13.
Documents :
N2-2) Début de la conversation du 12 mars avec Rony Brauman
N2-3)’ Fin de la conversation du 12 mars avec Rony Brauman
N2-4)’ Conversation du 13 mars avec Patrick Moreau
N2-5)’ Conversation du 13 mars avec l’OACI de Neuilly
N2-6)’ Début de la conversation du 13 mars avec Roger Vivarié
N3-1) Suite de la conversation du 13 mars avec Roger Vivarié
N3-2) Conversation du 13 mars avec Mlle Pagnier
Chapitres Bamina, Parce que vous êtes intervenu, Direction des Nations Unies et demande d’audience à l’Elysée.
Au moment où Idriss Déby forme le MPS à Bamina, notre avocat maître Gérigny propose à mes parents de demander une audience à l’Elysée afin de s’assurer de son soutien pour poursuivre les criminels. Organisation des signatures.
Documents :
15) Courrier de maître Gérigny aux parents du 26 mars 1990
N3-3) Conversation du 27 mars avec la CEDH
N3-4) Conversation du 28 mars avec l’OACI de Neuilly
N3-5) Début de la conversation du 28 mars avec Mlle Pagnier
N3-6)’ Suite de la conversation du 28 mars avec Mlle Pagnier
N3-8)’ Conversation du 3 avril avec le secrétariat de Rony Brauman
N3-9)’ 2ème conversation avec la CEDH de Strasbourg, le 3 avril
N3-10)’ Conversation La Haye du 3 avril
16) Courrier de Maître Gérigny aux parents du 9 avril 1990
N3-11)’ Conversation du 17 avril avec le secrétariat de Mlle Pagnier
N3-12)’ Conversation du 20 avril avec M. Belliard
N4-1) Fin de la conversation du 20 avril avec M. Belliard
N4-2) Conversation du 20 avril avec la Direction des Nations unies du MAE
N4-3) Conversation du 20 avril avec Maître Gérigny
17) Courrier de maître Gérigny du 21 avril 1990
N4-4) 1ère conversation avec ASF du 23 avril
N4-5) Conversation du 23 avril avec le secrétariat de Maître Gérigny
N4-6) 2ème conversation avec ASF du 23 avril
N4-7) Conversation avec Mme Felliot, le 23 avril
18) Courrier de Dumas à Brauman du 5 avril 1990
N4-8) Début de la conversation du 24 avril avec la Direction des Nations unies
N4-9)’ Fin de la conversation du 24 avril avec la Direction des Nations unies
N4-10)’ Conversation du 26 avril avec M. Belliard
Chapitre Rendez-vous au cabinet du ministre.
A mon retour de Paris, où j’ai fait signer la lettre de demande d’audience à l’Elysée par MSF et ASF, j’ai un courrier de Jean-François Deniau dans ma boite aux lettres. Mes parents avaient sollicité le député du Cher qui s’était adressé à Roland Dumas. Le député m’envoie la copie de la réponse du ministre datée du 17 avril, dans laquelle il me propose de rencontrer son conseiller Nicolas Normand.
Extraits
« J’appelle madame Pagnier à ce sujet le 3 mai. Nous refaisons, dans un premier temps, le point des démarches de monsieur Laugel.
L’ambassadeur a été reçu par le ministre des Affaires étrangères et l’on commence en fin de compte à répondre aux premières notes verbales, me dit-elle.
— Evidemment, c’est pas très encourageant pour vous parce que vous avez sûrement l’impression que, si on commence à nous répondre aux notes du mois de décembre, pour vous, ça n’avance pas. Ceci dit, dans l’absolu, si. Ça prouve qu’il y a quand même un léger déblocage de la situation. Cela prouve que, quand même, heu, à force d’avoir des démarches pressantes, les Soudanais réalisent qu’il faut qu’ils prennent position. Alors là, ils ont donné un petit peu plus de précisions, c’est-à-dire que, au lieu de dire que l’appareil avait été descendu, point final, ce que tout le monde savait, ils ont donné la nature du missile, ils ont donné l’altitude, ils ont donné d’où était parti, d’après leur enquête, le missile. Ceci dit, il est bien évident que nous ne nous sommes pas contentés de cette réponse, et nous avons considéré que nous voulions d’autres notes et nous voulions d’autres précisions et des contre-expertises. Bon, maintenant on les attend, c’est déjà un premier point positif. Vous savez, qu’il y a aussi cette fameuse enquête de l’OACI, dont ils n’ont pas fait état à notre ambassadeur. Ils n’ont pas du tout parlé de l’OACI à notre ambassadeur. D’ailleurs, comme c’est une enquête tout à fait séparée, c’est une demande séparée de la part de l’OACI, c’était plus à nous d’en reparler, mais elle a été demandée et nous savons que … c’est vrai, la demande a été faite, la demande a été réitérée, bon, là aussi, faut attendre, voilà où on en est pour l’instant.
— Vous avez donc demandé au Conseil de l’OACI d’examiner la question.
— Voilà, alors tout ça, ça prend du temps, hein, c’est… Malheureusement, ça se fait pas en 24 heures et je sais que pour vous, pour la famille, je me mets tout à fait à votre place, je sais que pour vous c’est assez, assez désespérant.
— Hm.
— Cela dit il y a des petits points…Voilà où on en est pour l’instant…
— Oui, et au niveau de l’OACI ils en sont où, … est-ce que vous savez où…
— Ha ben non. Eux font leur procédure, après ils nous tiennent au courant, mais, heu… Si vous voulez, c’est quand même un organisme international. Ils nous tiennent au courant de temps en temps, mais si vous voulez, c’est pas nous qui pouvons relancer tous les deux jours, hein.
— D’accord.
— Donc, eux vont nous dire… Mais pour l’instant on ne peut pas les relancer. Eux font leur procédure, eux font leur travail.
— Oui Bon, d’accord, …donc faut attendre de leur part qu’ils informent.
— Exactement. Bon il est évident qu’il y a des réunions, qu’il y a des contacts. La question sera reposée, et même par notre représentant sur place, en disant « bon, ben, où en est l’affaire, est-ce que vous avez des informations». Hein, si vous voulez c’est pas quelque chose qu’on, qu’on enterre, qu’on laisse dormir, on en parle de temps en temps, mais si vous voulez, vous ne pouvez pas toutes les, toutes les semaines… Notre représentant ne peut pas demander à l’OACI « et alors, et alors, et alors, où vous en êtes ». On en parle, il en parle, lorsqu’il a des réunions, lorsque les affaires sont évoquées.
— Et qu’est-ce qu’il en est du contenu de l’entrevue de monsieur Laugel au Soudan ?
— Bon, ben, je vous ai dit, c’est un peu plus positif que d’habitude. Puisque d’habitude, bon, ben on n’obtenait pas de réponse, on n’obtenait rien. Si vous voulez, on avait un silence courtois en face de nous. Cette fois-ci, on a déjà eu une réponse et une attitude plus bienveillante de la part du ministre des Affaires étrangères. Bon, ce qui nous a permis de lui dire merci pour votre réponse. Mais c’est pas tout à fait ça, hein, c’est même pas ça du tout. Nous vous rappelons que nous avons envoyé telle et telle correspondance et que nous avons demandé des précisions. Nous voulons une véritable enquête, un véritable rapport d’enquête très détaillé, sur quoi il en a pris note.
— Il devrait donc répondre précisément.
— Exactement, seulement c’est pas pour ça qu’il nous répondra demain matin. Là encore il va nous falloir de la patience. Il va falloir redemander des réponses aux questions qui ont été posées, aux notes verbales qui ont été remises au ministère des Affaires étrangères.
— Oui.
— Vous savez c’est désespérant aussi pour notre ambassadeur parce que lui aussi se bat contre heu…
— Oui, il connaissait très bien le pilote, je sais.
— Oui. Et nos interlocuteurs sont pas des gens faciles, ce sont pas des gens, si vous voulez, qui… qui sont arrogants, qui vous envoient promener. Mais ne pas avoir de réponses et avoir des édredons, c’est encore plus désespérant.
— Oui, oui, bon… Mon frère nous parlait dans ses lettres de la façon dont les autorités soudanaises… Pour avoir les autorisations de vol, c’était toujours très long aussi…
— Ho c’est très long, l’administration soudanaise. Et puis la situation ne s’améliore pas pour l’instant donc, comme il y a des dissensions, comme le gouvernement n’a pas une assise populaire, c’est le moins qu’on puisse dire, donc il essaie de se maintenir, avec une certaine autorité, par cette hauteur, par cette froideur.
— Oui, j’ai vu dans la presse qu’il y avait eu un coup d’État qui avait été réprimé, là aussi ça peut ralentir…
— Ho ça n’est pas… ça n’empêche pas une réponse, une action. Disons que ça peut ralentir. Ça dépend… ça peut être à double tranchant… Le gouvernement, justement, puisqu’il vient quand même de réprimer un coup d’État, puisqu’il y a quand même eu un certain nombre d’exécutions, c’est le moins qu’on puisse dire, peut peut-être essayer de montrer qu’il est plein de bonne volonté et se racheter en agissant sur notre dossier, par exemple sur celui-là, ça dépend, c’est à double tranchant, ou au contraire, essayer de traîner en disant « ben, pour l’instant, là, on gagne du temps, nous, on essaie d’assoir notre autorité, et puis quand on sera plus assis, eh bien, on répondra… », c’est à double tranchant, et au contraire, ça peut peut-être débloquer.
— Oui hm.
— Vous savez les contacts sont pas faciles avec eux. Notre ambassadeur qui joue sur place, ici, à l’ambassade du Soudan, vous savez très bien que l’ambassadeur n’est pas arrivé, et puis, il est aux couleurs du régime, et le chargé d’affaires est quand même quelqu’un qui, eh bien, qui ne veut pas s’opposer à son régime et qui tient à survivre.
— Oui d’accord.
— Donc nous en parlons, hein. Même ici, je vous dis, quand moi je reçois le chargé d’affaires, et Dieu sait que je le vois de temps en temps puisqu’il nous demande des crédits, la réponse est la même, heu, non. Je le vois donc et à chaque fois j’aborde cette question…en disant « vous avez aussi d’autres dossiers sur lesquels nous vous avons demandé des questions, montrez votre bonne volonté et puis une bonne volonté entraînera peut-être une autre bonne volonté ».
— Oui bien sûr.
— Bon ben à force de donner ce genre de message, il est bien obligé de les envoyer également à son gouvernement.
— Hm.
— Il est bien évident que nous n’aidons pas le gouvernement soudanais puisqu’il y a l’affaire de cet avion et ça, il n’y a absolument aucune raison.
J’évoque le courrier du député du Cher et la réponse du ministre Dumas qui lui avait été faite. J’informe madame Pagnier de mon intention de prendre rendez-vous avec monsieur Normand. Peut-être serait-il possible de la rencontrer elle-même à cette occasion. Elle me répond que selon son planning, à ajuster avec celui de M. Normand, une rencontre devrait être possible dans la semaine du 14 au 18 mai. Il faut voir avec le conseiller du ministre.»
Documents :
N5-1) Conversation du 3 mai avec Mlle Pagnier
19) Petit mot d’ASF du 3 mai me renvoyant la lettre définitives pour l’Elysée
N5-2) Conversation avec le secrétariat de Nicolas Norman
N5-3) Conversation avec Nicolas Norman
N5-4) Conversation avec Mlle Pagnier, le même jour
N5-5) Conversation du 10 mai avec Rony Brauman
N5-6) Conversation du 10 mai avec le secrétariat de M. Norman
N5-7) Conversation du 11 mai avec M. Delacroix
20) Mon courrier à maître Gérigny du 7 mai avec la lettre définitive pour l’Elysée
Chapitres Les conseillers du président, Monsieur Hénault, Gérard Prunier et La Baule.
La lettre définitive de demande d’audience est déposée à la présidence le lundi 21 mai. J’en assure le suivi par mes appels téléphoniques. Une ouverture soudanaise s’esquisse quant à une enquête sur l’attentat. Celle-ci ne dépend que de l’OACI me dit le MAE. La balle est dans le camp des Nations Unies mais mon correspondant à la Direction des Nations Unies du MAE me dit que cette enquête est en suspens. Je cherche des appuis partout où je pense pouvoir en trouver.
Documents :
22) Mon courrier à Nicolas Norman du 30 mai 1990
N5-8) Conversation du 14 mai avec MSF
N5-9) Conversation du 14 mai avec le secrétariat de Rony Brauman
N5-10) Message, sur le répondeur, de Odile Hardy, secrétaire de Rony Brauman, le 14 mai
N5-11) Début de la conversation avec M. Delacroix du 15 mai
N5-12)’ Fin de la conversation avec M. Delacroix du 15 mai
N5-13)’ Conversation avec Odile, secrétaire de Rony Brauman, le 17 mai
N5-14)’ 2ème conversation, le 17 mai, avec Odile, secrétaire de Rony Brauman
N5-15)’ Conversation du 17 mai avec Marie-Paule Faisant
N5-16)’ 3ème conversation avec Odile, secrétaire Brauman, le 17 mai
N5-17)’ Conversation du 17 mai avec Rony Brauman
N5-18)’ Conversation du 18 mai avec Rony Brauman
N5-19)’ Conversation avec Odile, secrétaire de Rony Brauman, le 18 mai
N5-20)’ Conversation du 20 mai avec M. Delacroix
N6-1) Monologues du 16 mai
N6-2) Fragments conversation avec M. Delacroix du 17 mai
N6-3) Conversation avec Odile, secrétaire de Rony Brauman, le 21 mai
N6-4) Conversation du 25 mai avec le secrétariat du président de la République
N6-5) Conversation du 25 mai avec Mlle Pagnier
N6-6) Conversation avec le secrétariat général de l’Elysée de J L Bianco, le 28 mai
N6-7) Note au micro, le 30 mai
N6-8) Conversation du 30 mai avec le secrétariat de M. Arnaud
N6-9) Appel du secrétariat de l’Elysée, le 30 mai
N6-10) Plusieurs conversations avec le secrétariat de M. Vidal, entre le 30 mai et le 6 juin
N6-11) Conversation avec le secrétariat de Mlle Pagnier, le 6 juin
N6-12) Message au répondeur du secrétariat de Gilles Vidal du 6 juin
23) Mon courrier à Laugel du 6 juin
N6-13) Conversation du 7 juin avec M. Gilles Vidal
N6-14) Conversation du 7 juin avec Gérard Prunier
N6-15)’ Conversation du 8 juin avec la Direction Nations unies
N6-16)’ Conversation avec Luc Deropa à la Direction des Nations unies, le 8 juin
N6-17)’ Conversation du 13 juin avec Mlle Pagnier
N6-18)’ Conversation du 18 juin avec M. Delacroix
N6-19)’ Conversation du 18 juin avec Mlle Pagnier
N6-20)’ Conversation avec une journaliste (peut-être Julia Fricatier), le 19 juin
N6-21)’ Conversation avec une journaliste (AFP 1), le 19 juin
N6-22)’ Conversation avec une journaliste (AFP 2), le 19 juin
N6-23)’ Conversation avec une journaliste (AFP 3), le 20 juin
N6-24)’ Conversation du 21 juin avec Mlle Pagnier
N6-25)’ Conversation du 22 juin avec M. Delacroix
Chapitre Rendez-vous à l’Elysée.
Ce chapitre retrace la période après La Baule, fin juin et juillet 1990, mes recherches d’appuis, mes collectes d’informations, le rendez-vous à l’Elysée.
Documents :
24) Courrier de Laugel du 25 juin 1990
25) Courrier du 27 juin du fonds de garantie
N6-26)’ Conversation du 27 juin avec Gilles Vidal
N6-27)’ Conversation du 29 juin avec M. Delacroix
N7-1) Suite conversation du 27 juin avec Gilles Vidal
N7-2) Conversation avec Rony Brauman du 29 juin
N7-3) Conversations du 6 juillet avec les secrétariats de MM. Arnaud et Vidal
N7-4) Conversation du 6 juillet avec Jean-Christophe Mitterrand
26) Réponse de Kouchner le 6 juillet à ma sollicitation
N7-5) Fragments de conversations avec la Direction des Nations unies du 6 juillet
N7-6)’ Suite des différents fragments de conversations avec la Direction des Nations unies du 6 juillet
N7-7)’ Conversation avec Mlle Lefraper de la Direction des Nations unies, début juillet
27) Courrier d’ASF du 12 juillet 90
N7-8)’ Conversations du 13 juillet avec M. Fournerat d’ASF
N7-9)’ Conversation du 13 juillet (%) avec le secrétariat de l’Elysée
Chapitres Le problème de monsieur Arnaud, la vérité sur un crime, Zakho et Comité de soutien.
Les deux chapitres Le problème de monsieur Arnaud et La vérité sur un crime restituent la conversation du 18 juillet avec Mademoiselle Pagnier, le lendemain de l’audience auprès de monsieur Arnaud à laquelle elle assistait, les événements des mois d’août et septembre 1990 et ma dernière conversation téléphonique, le 14 septembre avec Mademoiselle Pagnier. Après la naissance de mon fils, le 17 août 1990, mes parents prendront la suite des relations avec les autorités françaises. Elles feront l’objet des chapitres Zakho et Comité de soutien.
Documents :
N7-10)’ Conversation du 18 juillet avec Mlle Pagnier
29) Courrier de maître Gérigny à Claude Arnaud du 20 juillet 1990
30) courrier des parents à Mitterrand réécrit
N7-11)’ Conversation du 26 juillet avec M. Delacroix
31) Courrier de Mitterrand aux parents du 27 juillet 1990
32) Article de presse du 3 aout La Nouvelle République La vérité sur un crime
N8-1) Conversation du 14 septembre avec Mlle Pagnier
33) Courrier du Fonds de Garantie du 25 septembre 1990
34) Courrier des parents à Dumas du 18 octobre 1990
35) Courrier du député Rimbault aux parents du 24 octobre 1990
36) Courrier des parents à Kouchner du 30 octobre 1990
37) Courrier du Fonds de Garantie du 5 novembre 1990
38) Réponse de Kouchner aux parents du 26 novembre 1990
39) Allocution de Brauman lors du CA réuni le 21 décembre 1990
40) Courrier des parents à Brauman et Vivarié du 27 décembre 1990
41) Courrier de Dumas à Rimbault du 4 janvier 1991
42) Articles de la presse locale à l’occasion du premier anniversaire de l’attentat
43) Courrier de Dumas aux parents du 17 janvier 1991 en réponse à leur courrier du 18 octobre 1990
44) Courrier du député Rimbault aux parents du 11 mars 1991 copie
45) Article de presse du 6 juin 1991
46) Courrier de mon père à maître Couderc du 17 novembre 1991
47) Courrier de maître Couderc aux parents du 2 décembre 1991
48) Saisine par Francis Wurtz député européen de l’assemblée paritaire ACP-CEE le 12 mai 1992
49) Courrier de Maurice Renaudat à ma mère du 15 mai 1992
50) Courrier de l’Assemblée paritaire ACP-CEE à Francis Wurtz député européen du 15 septembre 1992
51) Courrier de Francis Wurtz à Maurice Renaudat du 19 octobre 1991
52) Courrier de Maurice Renaudat à ma mère du 23 octobre 1992
Chapitres Grisolles, Paris et Cinq années d’écriture.
Ces trois derniers chapitres de la cinquième partie de Malim Une histoire française retracent mes rencontres avec Christopher Carr en mars 2014, l’hommage aux victimes du terrorisme du 19 septembre 2014 présidé par Bernard Cazeneuve, mes courriers avec le ministre de l’Intérieur du gouvernement Valls, et ceux avec Christiane Taubira, ministre de la Justice de ce même gouvernement, les conséquences qu’il faut en tier.
Documents :
55) Mon courrier au juge d’instruction du 29 avril 2014
56) Mon courrier à Bernard Cazeneuve du 21 septembre 2014
57) Courrier de Bernard Cazeneuve du 2 octobre 2014
58) Mon courrier à Bernard Cazeneuve du 11 octobre 2014
59) Mon courrier au juge d’instruction 15 novembre 2014